Réagir (0)Covoiturage EnvoyeriCalPartager

samedi 29 mars 2025 à 15h

Marie Claire CALMUS avec son recueuil "Transamance",

et Marco Manzano Pomeira.

Artiste et écrivaine parisienne vient présenter à Limoges le plus récent de ses recueils, dans le cadre d'un Printemps des poètes libertaires, avec la présence d'un artiste qui fleure bon la simplicité lumineuse et non médiatique : Marco Manzano Pomeira, le rayonnant pape-soleil arédien.

ITINÉRAIRE

MAI 68 fut le déclencheur de l'écriture pour Marie-Claire Calmus, professeure de Lettres quiavait choisi les lycées techniques de banlieues dites difficiles (Paris-Mantes, 1993, éditions de Magrie). Son premier essai, « Ouvrir la Cage » de l'Aliénation, avait été conçu durant le mouvement, mais n'a été reconnu par un éditeur que 40 ans après.

‎ ‎ Un article critique sur l'École, publié dans la revue libertaire La Rue fut à l'origine de « La Mort du Grand Leurre », éditions Acratie, 1985.

‎ ‎ Une soixantaine d'essais, poèmes, nouvelles, romans, chroniques ont été diffusés depuis.

‎ ‎ « Privé-Public 2020 » (Éditinter éditions, 2021) est la troisième version d'une réflexion sur le rapport entre ces deux sphères, relancée par les effets de la crise sanitaire. Chez le même éditeur, en 2021 est paru le volume 9 des « Chroniques de la Flèche d'Or », prolongeant une expérience philosophico-théâtrale de 20 ans.

‎ ‎ Marie-Claire Calmus chante actuellement chez Adel, près du Canal Saint-Martin, d'où notamment des textes de son recueil poétique Transamance 2025 (Éditinter, 2024).

‎ ‎ En dehors d'une activité critique régulière, pour la revue L'Émancipation parmi tant d'autres, elle boucle actuellement à un essai sur l'Espace, qu'Éditinter fera paraître à l'automne.

‎ ‎ Croquis des recueils et illustrations des couvertures de livres témoignent d'une activité picturale originale et continue.

« La science peut se définir comme la production de connaissances ; alors que le savoir concerne surtout leur acquisition. »

Marie-Claire Calmus

ENTRÉE LIBRE

À L'EAGR, 64, avenue de la Révolution, Limoges

Source : message reçu le 19 février 18h